Depuis le début de la pandémie, près de la moitié des Canadiens avoue vivre dans l’inquiétude et l’anxiété.
C’est bien connu, les personnes les plus vulnérables sont les premières à faire les frais d’une crise économique, politique ou, comme nous le vivons depuis quelques mois, de santé publique.
Fidèles au poste, nos équipes ont dû répondre, dans des conditions difficiles, aux besoins croissants d’une clientèle fragilisée par l’augmentation des enjeux liés à des problèmes de santé physique et mentale, à la toxicomanie ou à la violence conjugale. Plus que jamais, les femmes que nous accueillons sont confrontées à leur grande vulnérabilité. En situation précaire, sans emploi et très isolées socialement, tout porte à croire qu’elles seront confrontées à des défis encore plus grands au cours des prochains mois en raison de la situation économique.